À 12 ans, il réussit la traversée à la nage entre Sainte-Lucie et la Martinique

Contribution à « Octobre Rose » et la Ligue contre le cancer

Ce défi de Christophe Maleau, dans le cadre d’Octobre rose, c’est pour soutenir la Ligue contre le cancer, sa mère et toutes les femmes atteintes d’un cancer. 

Le jeune Christophe Maleau a réalisé son troisième défi à la nage

Le 10 octobre 2020, il a mis 13 h 50m et 47 s pour rallier Sainte-Lucie à la Martinique. Parti à 5h10 de la baie de Sainte-Lucie il est arrivé à Sainte-Anne (Martinique) à 19 heures.

Christophe Maleau a rejoint le club très fermé des nageurs qui ont tenté l’aventure sportive entre Saint-Lucie et la Martinique à la nage. Après Jacques Sicot, Yann Richard et Gilles Rondy, le jeune champion âgé de 12 ans est arrivé ce samedi 10 octobre 2020 à Sainte-Anne en Martinique.

Il a pris le départ, ce samedi matin (10 octobre 2020)  à 5h 10 dans la baie de Saint-Lucie. Dans des conditions de mer assez bonnes, il nage avec facilité et est en avance sur les plans établis par les techniciens. Christophe Maleau s’octroie chaque 20 minutes une pause pour s’alimenter.

Il est accompagné de ses parents, des membres de l’organisation du défi et également des jeunes nageurs de Longvilliers club du Lamentin, son club de natation. Des catamarans sont également sur le plan d’eau avec tous les partenaires de l’opération.

Ses précédents défis

Son premier défi s’est déroulé en 2017. Christophe Maleau nage 6,4 km entre l’Anse Mitan aux Trois-Îlets et la Française à Fort-de-France.
L’année suivante il s’attaque aux 26 kilomètres entre le Diamant et Schœlcher.
Son troisième déli a été réalisé ce samedi 10 octobre sur 40 kilomètres entre Sainte-Lucie et Sainte-Anne.

Bravo pour cette incroyable performance

Source Jean-Claude Samyde Francetvinfo.fr

Les 6 remparts anti-virus indispensables en entreprise

Gestes barrières systématiques

Eternuer et tousser dans le pli du coude, ou dans un mouchoir jetable immédiatement mis à la poubelle, protège les autres des gouttelettes de salive responsables de la transmission du virus. « L’autre geste essentiel est un soigneux lavage des mains par une friction d’au moins 30 secondes. L’entreprise doit donc s’assurer qu’il y a bien du savon dans les sanitaires et du gel hydroalcoolique dans les locaux ».

Protocole d’isolement

Au moindre doute, pas de déplacement ! « Pour éviter toute inquiétude en cas d’apparition de symptômes, les entreprises – avec l’aide du service de santé au travail – doivent établir en amont une procédure de prise en charge, pour savoir comment isoler l’individu et le faire rentrer chez lui », … soulignant également l’importance d’un dispositif d’identification des « cas contacts » à risque.

Renouvellement fréquent de l’air

L’aération est indispensable. « Si la ventilation est naturelle, il est préconisé d’ouvrir portes ou fenêtres pendant au moins un quart d’heure toutes les 3 heures. Si la ventilation est mécanique, les services généraux doivent voir s’il est possible d’augmenter l’apport d’air neuf ». Les chauffage et climatisation peuvent fonctionner si l’apport d’air neuf est régulier. En revanche, elle met en garde contre les flux d’air trop importants qui propagent, au-delà d’un mètre, les gouttelettes respiratoires.

Masque porté correctement

Généralisé dans les entreprises depuis le 1er septembre, le masque crée une barrière supplémentaire, mais il n’exempte en aucun cas des gestes barrières. « Surtout, il doit couvrir le nez et la bouche, englober le menton et n’être manipulé qu’avec des mains préalablement lavées ».

Hygiène des locaux

Une évaluation du risque de contamination des surfaces permet un nettoyage adéquat. « Les objets et points de contact les plus touchés – rampes, poignées de porte, boutons d’ascenseur… – doivent être traités plusieurs fois par jour ». Un local peu fréquenté peut se contenter d’un nettoyage quotidien.

Distanciation physique

Respecter une distance d’au moins 1 mètre, bannir les poignées de main, favoriser le télétravail et éviter les réunions en présentiel, opter pour une signalétique claire en faveur d’une meilleure gestion des flux : telles sont les recommandations du médecin du travail. « Les marquages au sol, postes de travail respectant les distances et parois de séparation sont les bienvenus. ». Il faut « rappeler les consignes de distanciation aux abords des machines à café et fontaines à eau. »

Source Les Echos

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